Le vieux Clown


Le vieux Clown

Elles sont bleues lesétoiles, faites de papier mâché
Qui survolent ton soleil sur des toiles garnies
Ils sont grands les bateaux de mes vieilles années,
Moi, vieuxclownsouriant aux cheveux dégarnis.

Mais pour toi je rêverai de milliards de couleurs
Déposées sur ta tombe enfontained’amour
Etchaussuresà la main, j’avancerai sur ta peur
L’effaçant à jamais du chagrin des toujours.

Mes yeux s’émerveillaient, mais face à ce tableau
Quand nous étions tous deux, à scruter l’horizon
Il m’arrivait de boire lesucrede tes mots

Aujourd’hui le soleil n’est plus que souvenir
LesPourquoidu destin demeurent illusions
Et ton regard bleu restera mon soupir.

Sahel.


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